C'est terrible d'entendre une chanson, une simple chanson écoutée il y a un an pendant nos soirées sans recevoir un de tes petits sourires entendus, comme pour me dire : "oui, moi aussi, tout pareil, ne t'inquiètes pas, on est toujours connectées toi et moi".
A quoi ça sert que la fille au tableau ait son string ou un bourrelet qui dépasse si je ne rencontre pas ton regard éhonté? Comment oublier toutes ces heures d'éco, avec toi à mes côtés, et Mme Hannedouche devant nous [on reprend lecture du chiffre] ? Je ne sens plus ta présence en cours, et j'ai souvent mal au ventre en pensant à toutes ces heures d'SVT endurées plus facilement avec toi.
Notre complicité nous a toujours épargné l'usage de la parole. Un froncement de sourcils, une moue suffisait à savoir que nous pensions exactement la même chose, que nous étions sur la même longueur d'onde, qu'on se comprennait et qu'on s'aimait.
I miss You ma Bi.
Vivement jeudi soaaaaaaaar.